05/09/2011

Délice du mois : la pastèque

Dépêchons, dépêchons, c’est bientôt la fin de la saison… Peu calorique, ultra désaltérante, la pastèque protège notre santé et peut s’accommoder de bien des façons.


Un anti-panne d’idées. C’est vraiment le fruit à tout faire. Riche en eau, la pastèque réveille la semoule de blé, nature ou dans un couscous ou un taboulé revisités. Il faut aussi l’essayer en soupe froide ou en smoothie avec un peu de menthe fraîche. Une fois l’écorce vidée, c’est un magnifique contenant. Les plus artistes peuvent s’essayer à la sculpture sur écorce comme dans les pays d’Asie, pour jouer avec le vert de l’écorce, le blanc juste en dessous et le rouge de la chair…

Bonne pour la ligne. La pastèque est très peu sucrée pour un fruit : seuls le citron et les groseilles le sont moins. Son goût sucré vient de sa forte teneur en fructose, un glucide au fort pouvoir sucrant. Le plaisir de la croquer reste entier : elle apporte moins de calories que la fraise, pourtant déjà légère.

Pour la forme. Les vitamines C antifatigue, B amie de notre renouvellement cellulaire et A antioxydante, sont au rendez-vous. Sa couleur rouge vient du lycopène, un antioxydant qui réduit les risques de maladie cardio-vasculaire et de cancer, surtout quand il est couplé aux vitamines A et C. La nature est bien faite ! Même ses pépins sont à croquer : ils sont source de protéines. D'ailleurs on les déguste séchés et salés à l’apéritif en Israël. Pour ceux qui n'aiment pas ça, il existe des variété "sans pépins" (en photo).

Et pour… la libido ! Dernier avantage, la citrulline contenue dans la pastèque aurait un effet similaire à une célèbre petite pilule bleue pour dilater les vaisseaux sanguins. Ce sont les scientifiques de l’université A & M du Texas qui l’affirment ici. Ils précisent que c’est l’écorce qui en contient le plus. Messieurs, bon appétit !

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